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union européenne - Page 3

  • Savoir politique et technocratique

    C'est l'appareil d'État qui gouverne en France comme dans tous les pays démocratiques développés du monde, l'exécutif ne sert qu'à communiquer, donner des impulsions, accompagner le mouvement, négocier les détails, incarner la magie du pouvoir, servir de fusible et assumer in fine la responsabilité de décisions prises en amont.

    François Amsallem

    C'est l'éternelle question entre savoir "idéologique" et "scientifique" ou dans le cas considéré entre politique et technocratique...il existe un engagement étroit entre un engagement politique et dans la croyance dans la "scientificité" des analyses "scientifiques", proposées par la technocratie dominante.
    Il est évident que si l'on affirme que son propre savoir est scientifique et celui d'autrui (du politique) est idéologique, on va considérer que les solutions que l'on préconise personnellement sont d'ordre purement techniques et que seul un ignare voudrait les contester tandis que celles, différentes, que les autres défendent (les politiques) sont nécessairement sujettes à controverses.

    Prenons un exemple. La science économique suppose que les salaires versés aux salariés sont des coûts qu'il faut minimiser autant que possible, et que les dividendes versés aux actionnaires et les bonus qu'obtiennent les dirigeants des entreprises sont des parts de bénéfice qu'il est important de maximiser.
    S'il s'agit là d'un fait scientifique, il est normal que le traitement de la question soit considéré comme "purement technique" et qu'un technocrate compétent ait le dernier mot.
    Mais s'il s’agit d'un sujet sur lequel les citoyens (représentés par des élus) appartenant à des classes différentes ont des opinions variées, il serait anormal et même injuste que des mesures de ce genre soit considérées comme ne relevant pas du politique et mises en œuvre en contournant par des "experts" le processus démocratique de consultation des électeurs.

    C'est la raison pour laquelle je considère que les lobbies doivent être mis à la porte de toutes les institutions et particulièrement de l'UE.

    25 03 19

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Penser global, agir local

    Soyons lucide NOUS allons en baver, car dans la marmite çà devient très chaud ...alors que les grenouilles victimes consentantes continuent à trouver le bain agréable...libre à elles : mais que ceux qui ont compris et veulent s’en tirer le fassent ENSEMBLE. 

    Seules elles n'y parviendront pas ...

    Avec Chirac et ses successeurs, nous avons connu la droite la plus stupide du monde et incapable de se rassembler sinon pour valoriser des intérêts personnels et de groupe.

    Cela DOIT cesser ! Désignons NOS ennemis et combattons les.

    Notre projet de gouvernance c'est de penser l’UE pour la déconstruire, global pour combattre la religion de la mondialisation et de l’islamisation, mais surtout AGIR local pour pérenniser la France, ses valeurs, sa culture, ses codes sociaux, son patrimoine, son histoire, son industrie, son économie et ses finances.

    Nous voulons vivre au pays et y prospérer ; nous ne voulons pas comme Attali vivre le cul en l’air entre deux avions et être citoyen du monde : aucun intérêt ; qu’il se le dise et ses amis Européens aussi ; une seule Europe NOUS intéresse, celle des nations et des peuples.

    Imposons ce choix à nos élites politiciennes, ne nous laissons pas imposer le LEUR.  De Marine le Pen à Macron en passant par tous les autres, aucun parti que nous choisirions ne doit déroger à cette règle.

    Francis-claude Neri
    04 03 19

     

  • Brexit

    Voici ce qu’écrit dans les « dernières nouvelles d’Alsace » un « journaliste bien-pensant » Pascal COQIS dans son « éditorial » concernant le brexit :

    « Comme le dit Michel Barnier, l’un des négociateurs de l’Europe, « on n’a pas besoin de plus de temps, on a besoin d’une décision. »

    « Chacun sachant que la seule qui réglerait tout une bonne fois pour toutes serait un nouveau référendum avec, cette fois, des électeurs votant en toute conscience et toute connaissance de cause. On n’y est pas encore, mais on s’en approche un peu plus chaque jour. L’Angleterre de 2019 n’est plus celle qui, en 2016, votait pour la sortie de l’union. Le pays a changé, son avenir aussi. ».

    Et voilà ! Les Anglais ont mal voté …il faut recommencer …çà ne vous rappelle rien ? Voyez Sarkozy …c’est y pas de la démocratie çà ? Du peuple souverain qui vote mal ?

    Changeons donc de peuple !

    Francis-claude Neri
    01 03 19